Attention, pour comprendre le billet qui suit, il est impératif (et je pèse mes mots) d’avoir lu celui-ci.
Quelques heures plus tard…
- Eva in London ?
- (Toujours à la Loulou) : Oui, c’est moi.
- Eva in London, je suis désolée, mais nous ne pouvons pas faire d’entorse à notre grille de salaires. Sinon, c’est le début de la fin, tout le monde va venir râler à mon bureau pour réclamer une augmentation de salaire, c’est juste pas possible. C’est que j’ai un compte Facebook à gérer, moi.
- Ah. Bon, entre-temps je me suis souvenue que je n’avais aucune autre piste et que ce n’est pas mon nouveau blog qui va payer les factures, alors d’accord pour X – 5000 livres. Je suis impatiente de commencer comme Sous-grouillotte !
- Vous faites bien d’en parler. Quand pouvez-vous commencer ?
- Eh bien (pensive)… mes allocations chômage me permettent de vivre confortablement sans rien faire pendant encore trois semaines, alors… disons, dans trois semaines ?
- Ah, malheureusement nous avons eu huit démissions en trois mois et nous avons désespérément besoin de quelqu’un pour faire tout le boulot inintéressant. Nous allons donc vraiment avoir besoin que vous commenciez dès lundi, Eva in London.
- Bon, ça ne me laisse que quatre jours pour arroser mes plantes et finir ma partie de Civilization, mais je n’ai pas trop le choix, alors ce sera avec plaisir, SuperConseil !
- Parfait, à lundi alors, Eva in London !
Et c’est ainsi que je suis devenue Sous-grouillotte chez SuperConseil.