je me suis réveillé, un sacré mal de tête,hier tu m'as cassé , imagine peut être,une immense nouvelle que l'on veut partager,sans crier à outrance, on peut se délecter,et tel une cosette dans des temps plus anciensrester dessous la table et pleurer tout du bien!l'amitié est un filtre qui sait respecter l'autre,qui sait lire en lui des détresses malpropres,et accepter de lui ces silences tacites,et aux uns du bonheur, aux autres l'anthracite!Si tu fais vingt et un à la table de chance,Oui on peut jubiler, c'est sur en silence je n'ai peur de rien sauf pleurer à outrance,d'une fille perdue :déjà cinq ans d'errance!
je me suis réveillé o ma jolie soeurette,un ressort vrillé dans ma petite tête,que toi tu aies pu croire, un jour dans ma vie,le bonheur des autres serait ma jalousiedans une semaine à peine, immunothérapie,concert de cinq heures où l'on revit sa vie,je penserai à toi mon amie de toujours,et de notre amitié je prierai tout mon saoul!je serai au chemin , le chemin qui sans douteaccepte les rancoeurs et sublime les doutes,chacun ses amitiés, mais dire passer outrede forcer à choisir serait la fausse route!