Toi

Publié le 16 février 2010 par Plouf
quelques mots d'un chagrin que tu ne peux connaitre,
en vertu d'une vie maintes fois violée,
de ses brùlants désirs, et, gardant ses secrets,
se dire qu'elle n'est plus , ce frêle petit être,
à l'ossature forte , la mine malingrée,
on lui donnerait certes plus de trente ans sonnés,
d'un frère, d'un ami que l'on a oublié,
à l'angle d'une rue, un soir, à l'étranger,
dans ce café trop grand, nos rires nos lenteurs,
faisaient sombrer la foule; la poisse, le malheur
ont rejailli sur nous jusqu'à la dernière heure
et de mille  diamants ont fait brillé ton coeur!