Cela signifie donc que désormais n'importe qui peut prendre, utiliser et modifier le code, que ce soit pour un terminal mobile ou une tablette par exemple, en élargissant d'autant l'éco-système autour de Symbian.
Pas de doute que cette stratégie vise à contrer l'Open Handset Alliance portée par Google - qui développe Android, l'autre plate-forme libre, ouverte et gratuite - adoptée aujourd'hui par la plupart des constructeurs de mobiles (sauf Nokia ...) et, paradoxe, y compris certains membres de la Symbian Foundation comme Sony-Ericsson, Siemens, Panasonic ou Motorola qui investissent donc dans des stratégies concurrentielles en application du proverbe populaire "Ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier" ?Au troisième trimestre 2009, selon l'analyste Catalys, Symbian détenait la première place du marché mondial des OS mobiles avec plus de 46 % des parts contre 20,6 % pour RIM/Blackberry, 17,8 % pour l'iPhone, 8,8 % pour Windows Mobile et un modeste 3,5 % pour Android lancé moins d'un an plus tôt.
A suivre ...