...C’est quelqu’un qui disparaissait dès qu’il se sentait aimé, et c’est quelqu’un dont on ne pouvait qu’aimer la douceur et l’attention délicate qu’il manifestait à tout un chacun ou chacune, plutôt chacune et les enfants et les animaux venant naturellement à lui - et ses fugues même ne pouvaient que lui valoir plus d’attachement, tant il était présent par ses absences sans qu’il n'y fût pour rien, sauf de n’être là que d'y rester pour y être passé…
Image : Philip Seelen