Magazine Humeur

Où l'on dissert sur nos mémoires

Publié le 22 février 2010 par Pbmv
Bonjour les Pingou,
C’est déjà l’heure de rattaquer, et on a à peine eu le temps de se poser. Et de poster de chouettes billets.
Durant cette petite semaine, j’ai perdu la garde des Éditeurs, mais j’ai vu les cousins. Je me suis épanchée sur mes problèmes de mémoire et ils m’ont raconté les leurs sur Pelléas et Mélissande. Rude.
J’ai repris plaisir à écouter du Chopin, j’ai été subjuguée par la beauté de La Dame aux Camélias.
J’ai appris que notre directrice de mémoire à la clavicule pétée revenait après nos examens et ne s’occupait plus de nos mémoires. C’est fatigant. Je compte lui péter l’autre clavicule dans un avenir proche.
J’ai regardé des films de filles en mangeant des sushi.
J’ai cru voir Babilol au rayon lingerie du Bon Marché.
Je ne me suis rien acheté.
J’ai trouvé qu’à l’Assemblée Nationale, il y avait plein de gens bons et de beaux costumes.
J’ai bu des latte vanille pour un mois.
J’ai découvert que les 3emes loges de face à Garnier sont idéalement situées.
J’ai traversé le Luxembourg après la pluie et parcouru les Tuileries au coucher du soleil avec mon petit sushi préféré.
J’ai admiré la nouvelle collection de souliers Repetto. Les salomés bleus sont parfaits.
J’ai dormi en falafel.
J’ai mangé des bricks. D’après Topi et Mémél, le secret réside dans le fourrage.
Je ne sais plus quoi faire de mes cheveux.
J’ai travaillé en vacances.
Je ne me suis pas remise de Benjamin Pech.
Où l'on dissert sur nos mémoires©Opéra de Paris
Je vais vraiment lire la Dame aux Camélias, que j’avais acheté après avoir vu la Traviata. Enfin, une fois que j’aurai fini The English et Watching the English, les deux derniers livres reçus par Amazon, mon ami pour mes cours d’anglais.
Un jour, je vous raconterai tout ce que j’ai à lire, pour me faire plaindre un peu.
Je crois que je vais vraiment acheter cette crème Hydra Zen machin truc qui fait une peau de bébé au réveil et me permettra de prendre les nouvelles réjouissantes de cette fin de Master dans la joie et la bonne humeur.
J'ai du travail en retard mais je file au cinéma à 17h.
N'insultez pas les pauvres étudiants, merci.

Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine