Alors, d'abord, ce strip est là pour tenir ma promesse par rapport à la Mariko à poil que je vous avais promis pour vos gentils votes (ça c'est fait).
Et c'est aussi une représentation du genre de réflexion que je me fais quasiment à chaque fois que je visite un musée, où les poignets d'amour bien saillants, les cuisses dodues, les petits bidous un peu flasques et la cellulite sont légion (et pas seulement sur des oeuvres de la Renaissance, enfin même si je crois qu'on ne peut pas faire plus too much que Michel-Ange et son Eve).
Bref il faut savoir relativiser sa graisse, et je vous laisse donc vous repaître du spectacle de la mienne que, j'en suis certaine, de Vinci aurait idôlatré jusqu'au ciel!