Le sujet de notre entretien du jour portera sur le climat, ses dérives et surtout, ses incontinents.
Car soyons sérieux un instant, il n’est de graves sujets qui ne nous dérangent.
Nous voici donc à l’orée de la fin du monde, 2012 selon les mayas et Hollywood, le mois prochain selon mon beau-frère qui a le genou qui le démange (et ça, croyez-moi, c’est un signe). Bref, à l’heure où la France se réveille la gueule pâteuse (bon, quand ça se passe à des milliers de kilomètres, on compatie, on envoie des chèques, la morale est sauve, mais quand ça se passe juste à côté de chez soi et qu'en plus il y a des morts, là, bizarrement, on commence à flipper. Grave).
Que voulez-vous, la nature humaine est ainsi faite.
Et Claude Allègre de ponctuer son troisième plat de cassoulet d’un rot tonitruant.
Alors donc, me disiez-vous, cher ami, l’homme n’y est pour rien ? Tout cela est dans l'ordre des choses et ne prête guère à conséquence... Vous reprendrez bien un peu de cet excellent gratin dauphinois ?
C’est bien ce que je me disais.
On est tous foutus.
Et moi qui commençait à reprendre espoir... Il va falloir que je réouvre ma collection. Mais si, vous savez, celle consacrée à la connerie humaine. Celle-là même qui ne connaît pas de limites. Et qui, quand elle en a, se débrouille toujours pour les repousser.
Un peu plus loin.
Toujours plus loin.
Plus loin.
Loin.
Mais alors loin !
Loin.
Si loin.
Et sinon vous, ça va ?
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu