Mille, dix mille farces, la détresse de l'âme,
Quand rien n'est à construire, diriger le navire,
Et esquiver la roche, aussi les bas récifs
Quand je me fais balourd, extrémement poussif,
Quand elle est là pour moi, qu'elle sort ses griffes.
Féline et si belle dans la nuit étoilée,
Au dehors le froid commence à canarder!
J'ai peur du paraitre, où est ce toi aussi,
Qui prenant le navire, la repoussa ici,
Dans des mers glacées, sombres d'indifférence,
Pour repartir un jour, ne voir aucune chance!
La fumée qui s'estompe agace tes regards,
Tu aurais bien voulu mettre tout au placard,
Mais la peur des maux te fait perdre patience,
Tu le redoutais tant, tu mets en évidence,
Le fait qu'il ne peut te rend insupportable,
Et qu'il ne pourra plus te sembler plus palpable
Toi qu'il a dit si belle, déesse de sa vie,
Il est hors du temps, il se met à l'abri,
Alors là tu tousses, tu fais ta mijaurée,
Feignant qu'il te repousse tu voudrais tant gagner!
Mais la victoire est vaine, et semble dérisoire,
Alors toi et moi comme papier buvard,
Aboire à la source des questions à venir,
Resteras tu ainsi ou voudras-tu partir...