Que dire de l’Eglise à ce propos. Sinon, que son organisation ( et non pas sa doctrine ) nous coupe depuis trop longtemps, de la féminité. Quelle que soit l’institution, la réelle mixité - offre
une panoplie d’effets positifs. Au contraire, de certains grands maîtres, Jésus était proche des femmes. Elles étaient là au plus près de la croix. Elles sont les messagères des grandes
intuitions de Jésus : de la samaritaine à Marie Madeleine.
Dans l’histoire de l’Eglise, ensuite, elles ne le sont restées que trop peu. Cantonnées au rôle de ‘ vierge ‘ pour espérer avoir droit au chapitre ! « La
femme est quelque chose de défectueux » écrit par ex. Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Ia, Q.92, a.1, s.1
Auparavant, la tradition des hébreux a recoonu le rôle maternel divin ; d’ailleurs, chaque fois
Jésus – le Vivant- Que ton Esprit (le mot « esprit » est féminin en hébreu : ruah) qui déjà appelle l’une ou l’autre à l’ordination, soit entendu par notre
communanuté pour définir rapidement le sens d’un ‘ministère féminin’…