A tout.
Aux questions sans fin qui sont le piétinement absurde de la raison.
Aux listes, petites ou grandes, sur lesquelles il s’agit de faire des croix comme dans un cimetière, enterrant une à une les résolutions du moment.
Au hasard. La solution des faibles.
Aux états d’âme, petit refuge de ceux qui se prétendent sensibles.
A l’idée d’un possible, qui n’est que l’autre nom de demain.
A elle et lui s’ouvrant le cœur pour en déverser le contenu, comme si cela avait le moindre sens, comme si les rivières avaient jamais construit leurs propres digues.
A nous en silence, couper court. Et se soumettre.