degré VII, XXXIII
Publié le 11 mars 2010 par Moinillon
Si donc nous
apercevons, dans ceux qui croient eux-mêmes être vraiment affligés selon Dieu,
quelques mouvements de colère et quelques sentiments d'orgueil, nous pouvons,
sans craindre de nous tromper, juger que leurs larmes ne sont pas sincères et
qu'elles ne sont pas produites par une véritable componction; car, comme le dit
saint Paul : Qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ?
(2 Cor 6,14) ?
saint Jean
Climaque : L'Échelle sainte
«De la tristesse
qui produit la Joie» (RU)