Par groupe de deux, ils se sont positionnés le long de cette bande blanche, celle que l’on ne doit pas dépasser.
Ils semblaient timides, étaient silencieux et puis chemin faisant, ils ont parlé, certains discutent avec les voyageurs en attendant la rame, ils nous saluent, nous rappellent la nécessité d’un comportement courtois. Gentiment mais impatients, nous encadrons alors les portes de la rame, laissant le flot humain se couler sur le quai.
Puis ils nous souhaitent une bonne soirée…
Ils plaisantent même en retrouvant des visages connus… une bonne humeur souffle à présent, des sourires s’esquissent…