Les sanglots longs des violons de l'automne blessent mon cœur d'une langueur monotone

Publié le 21 novembre 2007 par Denis De Fleury

cœur d'une langueur monotone

Par Denis de Fleury le mercredi, novembre 21 2007, 17:55 - Au fil du temps - Lien permanent


Dimanche dernier, le vent froid amenait une pluie frigorifiante mais sa force n'était pas suffisante pour créer des vagues susceptibles d'attirer les regards. Une journée triste et monotone pour les promenades en bord de mer. Nous étions d'ailleurs seuls au monde, personne à droite, personne à gauche, les demeures et jardins derrière nous restaient silencieux, un silence que l'activité de la mer n'arrivait pas à dissiper. A l'horizon, l'hiver se rapproche.