(Écrit le 1er juin 2000)
Monsieur Lecours,Excusez-moi de vous avoir berné en vous racontant que tout finirait par aller mieux pour vous, que tous ces efforts que vous aviez menés à bien tout l’hiver seraient récompensés par l’été qui s’en venait pour que vous puissiez fignoler autant qu’il vous plairait votre terrain de camping... je vous ai embabouiné pas à peu près, n’est-ce pas? La Faucheuse a été expéditive, mais pas suffisamment vite pour venir vous chercher quand vous souffriez considérablement. L’écoeurante, elle a préféré attendre que vous soyez presque tout rétabli et que vos douleurs se soient atténuées. Votre coloc du lit de gauche à François Charon et ultérieurement la voisine d’en face à l’hôpital Saint-François d’Assise,
Suzy