- Tu as l'air d'avoir bien froid, ma petite fille ?
- Ah ! oui, bonne femme, les vêtements que me donne ma belle-mère sont si mauvais que le vent passe au travers : c'est à peine s'ils suffisent à me couvrir, et elle ne veut pas que j'allume du feu.
- Tu me fais pitié, dit la vieille, qui était une fée déguisée, prends ma baguette, et frappe sur cette barrière en bois."
extrait de "Cendrouse", conte de type Cendrillon, conté en 1879, par Aimé Pierre, de Lifrré (35340), âgé de 19 ans, garçon de ferme à Ercé. Publié par Paul SEBILLOT, "Contes des Paysans et des Pêcheurs".1881 (rééd. Terre De Brume.1999) p. 192