Khartoum (Soudan) Envoyée spéciale
A deux siècles d'écart, les mots changent mais l'émerveillement est intact : "Qu'on se peigne la joie que j'éprouvai en découvrant les sommets d'une foule de pyramides. (...) J'y restai immobile de plaisir et d'admiration", écrit Frédéric Cailliaud, le 25 avril 1822.