Les ailes des martiens affleuraient sur nos rives,
Nos côtes saturées d’un monde si curieux,
Qu’il fallait une foudre pour qu’enfin se disperse,
En nuée volatiles, par grappes chacun d’eux !
J’ai regardé longtemps ces avions atterrir,
Le grand aéroport, le tarmac brulant,
Moi sur un hydravion je voulais amerrir
Un jour plus tard, oui quand je serai grand !
