Je suis tombée sous le charme d’un article sur le net dans un groupe qui s’appelle “sources d’optimisme et de réflexions positives”, j’ai bien aimé la logique de l’auteur, sa façon de voir les choses, en plus il est trés bien écrit. J’aime. Merci à l’auteur Michel Poulaert :
“Voilà une pensée que j’aimerais développer aujourd’hui avec vous.
Ne connaissez-vous pas des gens qui semblent tout réussir alors que d’autres semblent crouler sous les épreuves et les échecs ?
Peut-être vous reconnaissez-vous dans cette réflexion…
Les uns ont-ils de la chance alors que d’autres se font incessamment agresser par le « sort », les « étoiles » ou le « destin » ? Pourquoi les uns réussissent là où tant d’autres échouent ?
Ce qui est certain, c’est que notre état d’esprit sera toujours le fil conducteur de notre vie. Bien que dans la plupart des cas notre vie soit le résultat de nos choix, dans d’autres cas, nous ne décidons pas toujours les épreuves que nous subissons, c’est vrai. Parfois, les éléments externes, la conséquence des choix des autres ou des événements indépendants de notre volonté en sont la cause. Nous ne maîtrisons pas tout dans notre vie, c’est vrai.
Quoi qu’il en soit, l’effet que cela aura sur notre attitude et de l’interprétation et le sens que nous lui donnons est entre nos mains. Nous sommes maîtres de ce que nous en faisons !
Prenons quelques exemples concrets et quelques moments de réflexions.
Imaginez que plusieurs personnes vivent un événement totalement identique :
Une personne « de nature » inquiète se concentre principalement sur quoi ?
Sur tous les scénarios négatifs et celle des autres dans le même cas. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par cette inquiétude.
Une personne « de nature » défaitiste se concentre principalement sur quoi ?
Sur tous les échecs de sa vie et celle des autres dans le même cas. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par cet automatisme de défaite.
Une personne « de nature » optimiste se concentre principalement sur quoi ?
Sur tout ce qui peut arriver de mieux et sur les expériences des autres qui connaissent le succès. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par ce même optimisme.
Une personne « de nature » enthousiaste se concentre principalement sur quoi ?
Sur toutes les choses positives et sur ses potentiels, sur ses réussites vécues ou à réaliser.
Peut-on devenir un bon danseur sans âvoir suivi d’entraînement et sans le faire avec la conviction qu’on y arrivera ?
Quelle que soit l’expérience de la vie, qu’elle soit le résultat de nos choix ou de facteurs externes indépendants de notre volonté, nous avons tous le pouvoir d’en faire ce que nous désirons. Nous pouvons tous lui donner l’importance que nous voulons.
Dans la minute où vous décidez de vous concentrer sur quelque chose, c’est cette chose qui contrôlera votre vie !
Ne cherche-t-on pas souvent à justifier nos émotions en tentant de les identifier avec celles des autres qui réagissent comme nous. Comme si nous devions nous rassurer que ce que nous sentons est finalement normal.
En optant pour ce schéma comportemental, cela n’aide personne à se sortir de ce marasme qui agace pourtant tellement celui qui le vit… ça fatigue, on perd tout sentiment de paix intérieur et on perd l’estime de soi.
Si vous voulez vivre les choses différemment, c’est votre vision que vous vous faites d’un événement qu’il faut changer, l’importance que vous lui accordez et vous inspirer d’autres exemples édifiants.
Vous l’avez compris : nous pouvons tous vivre une seule et même situation et la percevoir de façon totalement différente selon notre attitude face à cette situation.
Comment expliquer que certaines personnes peuvent rire d’une situation alors que d’autres s’en affligent ou en pleurent, ou se mettent colère, ou s’offusquent, ou se mettent dans la défensive, ou… tout ce que vous voulez…
Une situation est invariable. Les perceptions et les réactions, elles, le sont !
Nous ne pouvons rien changer aux événements, mais nous pouvons changer notre façon de l’interpréter !
Les choses qui monopolisent nos pensées seront celles sur lesquelles nous allons nous concentrer. Va-t-on se concentrer sur le passé, le présent ou le futur qui guidera notre vision et nos attitudes ? Va-t-on se concentrer sur la conviction que votre vie est « maudite » ou qu’elle vous offre des « opportunités » de grandir en sagesse, expérience et connaissance ?
Avez-vous remarqué que lorsque vous êtes enceinte qu’il semble qu’il n’y a jamais eu autant de femmes enceintes autour de vous ?
Ce n’est pas qu’il y en a plus.
C’est que votre perception a changé, votre situation de vie aussi, vous attendez un enfant et votre regard ne sera que fixé sur cet événement heureux et ceux qui partagent le même sort que vous ! Du coup, il vous semble que la grossesse est devenue une épidémie.
Ou encore, par exemple, vous venez d’acheter une voiture qui vous semblait assez différente des autres et… dès que vous l’avez, il vous semble que tout le monde s’est passé le mot : ils ont la même que la vôtre…
Eh bien non, mais vous y prêtez tout simplement plus d’intérêt qu’avant ! Votre vision a changé et cette vision guide votre attention.
Il en est de même avec la vie dans tous ses domaines.
C’est ce qui vous préoccupe, la chose que vous fixez qui influencera vos perceptions, vos pensées et finalement vos actions !
Si nous sommes pessimistes, nous le sommes devenus à force d’expériences négatives sur lesquelles nous restons perpétuellement fixés. Personne ne naît pessimiste, on le devient. Comme personne ne naît avec une prédisposition à l’échec ! Les répétitions dans des processus de pensées forment nos habitudes. Nous pouvons, au même titre que nous avons formé nos habitudes négatives et auto sabotantes, construire de nouvelles habitudes constructives.
Croire à l’échec et continuer à le croire est un moyen d’empoisonner son esprit. Lorsque nous emmagasinons des émotions négatives, les perceptions déstructices, nous affectons notre physiologie, notre capacité de réflexion et notre état interne qui finalement nourriront nos croyances et nos actions. L’une des plus grandes limites que rencontrent les hommes, c’est la peur de l’échec.
Comment penseriez-vous et feriez-vous différemment si vous étiez sûr de ne pas échouer ? Ne cherchez pas des facteurs négatifs. Pensez sincèrement : « qu’est ce que je tenterai si j’étais sûr de ne pas échouer ? » Quelle serait votre réponse ?
Si vous croyiez ne pas échouer, peut-être envisageriez-vous de travailler différemment, de vous lancer dans des projets que vous estimiez impossible ou irréalisables.
Si vous voulez changer quelque chose dans votre vie, il est indispensable de changer sa vision, de point de mire. Elevez vos valeurs, vous méritez mieux !
Les gens qui récoltent du succès sont ceux qui croient au succès et se concentrent dessus. Ils s’inspirent à leur tour d’autres histoires inspirantes et d’hommes et de femmes qui ont accomplis des choses extraordinaires. Ils ne laissent leur sort ni entre les mains de « la chance » ou de « la providence » ou des « étoiles » ou des « autres », ils décident d’agir vers ce succès qu’ils fixent.
C’est à force de persévérance et de répétitions positives que nous pouvons changer le cours de notre vie !
Je vous souhaite une belle journée constructive et positive. C’est possible, soyez-en sûr !”
Michel Poulaert.