Par un concours de circonstances (ou de non dispo des coupines) exceptionnel, j'ai eu la chance de pouvoir être présente à l'avant première d' "Alice au pays des merveilles", le dernier film de Tim Burton.
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L'histoire :
Tim Burton a fait le choix de ne pas se lancer dans une énième ré-interprétation du fameux roman de ...
C'est pourquoi, l'histoire d'Alice débute 13 ans plus tard... Alice est alors devenue une jeune femme de la haute société londonienne, qui continue à faire de nombreux cauchemars dans lesquels elle tombe dans un grand trou noir et rencontre des êtres et des animaux étonnants.
Comme toute jeune femme d'une vingtaine d'année et de sa condition, sa famille et son entourage n'aspirent qu'à une chose : la marier avec le meilleur parti qu'il soit.
Cependant Alice, bien qu'elle ait totalement oublié sa rencontre avec le lapin blanc treize ans plus tôt, conserve un désir farouche de liberté et les enseignements appris par son père, à savoir d'accepter six choses incroyables avant même le petit-déjeuner.
Son imaginaire reste débordant. Et c'est ainsi qu'elle va retrouver ses amis d'antan dont elle ne conservait plus aucuns souvenirs.
Alice est de retour au pays des merveilles... Et celui-ci a bien changé...
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Mes impressions :
J'attendais tellement de ce dernier film de Tim Burton que je suis finalement restée sur ma faim.
Le scénario est plein de surprises et de rebondissements. A aucun moment, je n'ai été en mesure de prévoir ce qui allait se passer après.
Je me suis laissée porter par l'histoire du début à la fin, allant d'étonnement en étonnement. Et j'ai apprécié.
J'ai néanmoins regretté le peu de gaieté, de joie, de décors féeriques. je m'attendais à une histoire plus positive.
Mais en y réfléchissant, les décors sombres du film et les caractères plutôt tristes des personnages étaient parfaitement adaptés au scénario. Et comme je pensais avoir une énième réadaptation de l'histoire et non pas une suite, je m'attendais forcément à autre chose.
Comme quoi, Tim Burton saura toujours nous surprendre...
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Quelque chose en plus :
Mylène qui a gagné pour son "non-anniversaire" le dossier presse collector en édition ultra limitée et dédicacé par Tim Burton : un gros livre contenant un autre livre contenant lui-même un autre livre qui lui même contient un autre livre [...] jusqu'à ce qu'on tombe enfin sur le dossier de presse (je ne l'ai vu que de loin, mais Garko qui était assis près d'elle me l'a décrit).
La surprise du jour avec le passage de Tim Burton sur scène, avant la projection, pour répondre aux questions des blogueurs, nous laissant tous dans un état d'excitation
La douce folie de Johny Depp qui permet, dixit Tim Burton, de donner un visage encore plus fantasque au chapelier qu'il interprète et de repousser encore plus loin les limites de la fantaisie.