Magazine Journal intime

Petites news :)

Publié le 05 avril 2010 par Cassandre

Week-end Pascal (rien à voir avec Pakalou, hein, ceci-dit ;-) ) fut assez créatif, (vous verrez jeudi) et très flemmard en même temps. J'ai regardé la télé, plein.

Ah, et .. oui, l'article de vendredi était bien un poisson d'avril, j'ai trouvé plus drôle de le faire le 2 que le 1er où tout le monde s'y attend.. mais vous n'êtes même pas tombés dans le panneau ! Pff, je ferais mieux l'an prochain, oh, oui ! Je ferais mieux ! ;-)

Des séries télés  : j'ai rattrapé mon retard, un peu, sur la série Dr House. J'en suis enfin à la saison 4... mais vous devez vous en fichez comme de votre première chemise ;-)

Je comprends, je comprends.

Entre autres, j'ai commencé la série Dollhouse, une création de Joss Whedon. Vous savez, celui qui a fait Buffy contre les Vampires et Angel ?
Pour ce que j'en sais des quelques épisodes que j'ai vu jusqu'à présent, c'est une série assez complexe où les personnages et les "noeuds" d'histoires de mettent en place doucement.
Une "dollhouse" ("Maison de poupée") est un laboratoire dont l'existence est secrète. Mais pas pour tout le monde, eh, sinon, ce ne serait pas drôle ;-).
Ce centre futuriste abrite des "dolls" (poupées), hommes et femmes, qui sont programmés pour accomplir différentes mission. Ces hommes et ces femmes sont en fait payés pour, pendant 5 ans, oublier leur vie personnelle et être reprogrammés selon le bon vouloir du laboratoire et de ceux qui achètent leurs services.
D'ailleurs, les dirigeants du laboratoire ne les appellent pas des "dolls" mais des "actifs".
A chacune des missions, les actifs voient leur mémoire effacée et sont "imprégnés" avec une nouvelle personnalité, pour une nouvelle mission.
Seulement voilà, tout ne se passe pas forcément si simplement, et les souvenirs d'Echo, une "active", vont peu à peu refaire surface...

Dommage qu'il n'y ai que deux saisons... j'espère que ça ne finira pas trop en eau de boudin, ce serait dommage ;-)

J'ai aussi vu 2012... ahem... comment dire. Pour ceux qui auraient loupés le film (bénis soient-ils !) et qui ne savent pas de quoi ça parle (après tout sans télévision, ce devait être possible d'en louper la sortie), voici le résumé :

La Terre, bombardée de "neutrinos" dus à une éruption solaire plus importante que d'habitude, voit son noyau chauffer à un rythme soutenu, causant, in fine, des déplacements de la croûte terrestre. Tout ceci se produit en décembre 2012. Et bien sûr, c'est un scénario catastrophe avec tout plein d'effets spéciaux et des gentils, très gentils et des méchants, très méchants.

Ah, j'ai beaucoup aimé aussi, ce sont les États-Unis qui apprennent la nouvelle au reste des chefs d'États du G8... En tout cas, c'est comme ça que je l'ai compris.

Et vous aurez compris aussi, que le film, très manichéen, n'a pas remporté chez moi un suffrage unanime. Je suis contente de ne l'avoir pas vu au ciné, j'aurais été très déçue d'avoir dépensé de l'argent pour "ça".

Donc, non, je ne vous le recommande pas, si vraiment vous voulez des films catastrophes, "Le jour d'après", bien que tout aussi "improbable" est bien mieux réalisé, et pourtant, c'est le même :  Roland Emmerich.
Comme quoi, il y en a qui sont destinés à des genres ^^" mais si ça lui paie ses factures, il aurait tord de ne pas le faire, non ? ;-)

A choisir, donc, durant ce long week-end, j'ai préféré revoir la 4ème dimension et même Cloverfield (que j'ai vu pour la première fois) était mieux que 2012.

Pourtant dans le genre cliché, le film se pose là. Mais je l'ai trouvé plus intéressant, même si clairement, ce n'est pas un chef d'oeuvre, au moins cela vous fera-t-il passer un bon moment si vous aimez le genre.

Pour situer, en 2007 (avril si je me souviens bien ?), des jeunes gens organisent une soirée d'au-revoir pour un de leur amis qui a décroché un poste de vice-président au Japon (vice-président de quoi ? Mystère, mais on s'en fiche). Au cours de la soirée, alors que la fête bat son plein, l'immeuble dans lequel ils se trouvent est fortement ébranlé par ce qu'ils prennent pour un tremblement de terre.
Intrigués, les convives descendent alors dans la rue pour savoir ce qui se passe. Un coup sourd se fait alors entendre... et la tête de la Statue de la Liberté vient se fracasser à leurs pieds : un monstre d'une taille démesurée commence à semer la panique, détruisant tout sur son passage...

Ce n'est pas Godzilla, ni Gamera... et du coup, c'est moins intéressant. Je préfère le génie Nippon pour ce genre de film, mais on va dire que l'approche du réalisateur était assez originale, bien que les films réalisés "caméra au poing" commencent à me fatiguer...

Ok, le "Projet Blair Witch" c'était bien, pitié, ayez de nouvelles idées maintenant ! ^^

Au cinéma, sinon, je vous conseille Shutter Island s'il n'est pas trop tard, mais vous pouvez aussi en lire le livre (de Dennis Lehane), qui est un régal.

Mais le mieux : le dernier Tim Burton. "Alice in Wonderland".. pardon "Alice au pays des merveilles".

J'ai compris la magie de la 3D cette fois-ci (je voulais le voir en VO et dans ma salle favorite la VO était obligatoirement en 3D...), je crois que pour Avatar mes lunettes devaient manquer de piles ou je ne sais quoi.
Cette fois-ci : salle propre, lingettes pour les lunettes, lesquelles, presque neuves n'avaient pas encore de rayures... nan, impec.

Je me suis laissée emportée dans l'univers de Lewis Caroll revisité par Monsieur Burton.

J'ai une pensée particulière pour le Chapelier Fou, et ceci n'a rien à voir avec le fait qu'il soit interprété par Johnny Depp (hormis le fait que c'est un très bon acteur :) ) ;-)

Quoi ? Comment ça vous ne me croyez pas ? Mais, si ! Et puis d'abord, l'acteur est marié, na ! :P


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