Nabe répondant aux journalistes de chronic'art qui l'interrogent sur l'esthétique du "sale gosse", apogée de la posture nabienne :
" C'est peut-être l'âge. A 50 ans le type ne retient plus du tout son côté sale gosse. Il y a le "bogossitude" de Mickaël Vendetta, moi je suis dans le "salegossitude" ! (Rires). Et cela vaut depuis mon premier Apostrophes jusqu'à aujourd'hui, en passant par L'Idiot International. A partir du moment où [le narrateur de L'Homme qui arrêta d'écrire] cesse d'écrire, il retombe naturellement en enfance. Il a donc un regard à la fois pur et déconneur que les autres n'ont plus du tout."