Rechauffement

Publié le 06 avril 2010 par Xavier1

CLIMATIQUE



Que l’on laisse les scientifiques se débrouiller entre eux au lieu de demander au ministère de s’en occuper. Se référer systématiquement au gouvernement pour trancher des litiges alors qu’ils sont nuls dans tous les domaines ou presque ne sert absolument à rien; surtout quand cela concerne les sciences. Soyons sérieux une bonne fois pour toute. Est-ce qu’il y a des scientifiques au gouvernement? Des ingénieurs au moins? Je ne le crois pas ou bien alors ça ne casse pas les barreaux de chaise question niveau.
Et puis question climat, je fais parti de ceux qui pensent aussi que l’on nous prend pour des imbéciles.  C’est certainement du vent ces prédictions alarmistes. Et comme l’avait très bien dit un humoriste sur France Inter (j’écoute toujours RTL) quand il s’est mis à neiger et à cailler l’hiver dernier, ils ont vite disparu de la circulation ceux qui nous disaient que la terre se réchauffe; et c’est vrai qu’on ne les a plus vu. Mais dès qu’il fera  35 degrés durant l’été ils vont revenir nous emmerder. Moi j’ai un concept radical contre la canicule: le climatiseur, tout simplement.
Et puis les français s’en moquent de ces histoires. Ce que veulent les français c’est du boulot, du fric et un toit. Si le gouvernement n’est pas capable d’offrir cela aux français, c’est la preuve que ce gouvernement ne sert à rien comme tous les autres gouvernements,  et qu’il est totalement et intégralement incompétent ce qui n’est pas nouveau. On a trop de ministres et de secrétaires d’Etat qui ne servent à rien. Jadis nous n’avions que quatre ou cinq ministres et la France se portait à merveille.  Il faut dégraisser le mammouth une bonne fois pour toute et congédier ceux qui ne servent à rien. Et des inutiles il y en a à la pelle comme les feuilles mortes les journées d‘automne.
En attendant, bon vent et que l’on cesse de prendre les français pour des imbéciles avec des mensonges pour noyer le poisson. Les français veulent du fric, un toit et du boulot. L’écologie ils s’en foutent et ils ont bien raison.

Xavier  Jaffré