- de quoi te plains-tu me souffle Athéna ? ça veut dire que tu n’as de cesse que de partir en vacances…
- et d’en revenir… toujours.
Alors, me voilà, la grosse valise rouge trône encore au milieu du séjour, la petite a été montée par mon c&t, ouverte sur le lit, elle attend de régurgiter son contenu. Faire et défaire les valises, voilà.
Je suis prête à accepter n’importe quelle activité pour peu qu’elle puisse me faire repousser la corvée.
Comme toujours, les vacances ont filé trop vite. À peine installés qu’il a fallu quitter la montagne. Deux jours de pluie, quatre jours de beau temps, un jour de tempête vent-neige, et retour. A peine le temps de se sentir à l’aise sur les planches, à peine le temps aux enfants de gagner de nouvelles médailles, à peine un petit tour d’hélicoptère autour du domaine, la visite d’un ami, et voilà, il faut déjà partir. Remettre tout le fourbi dans la voiture et tracer la route, éviter les radars, se demander ce que font toutes ces voitures de flics perchées sur les ponts surplombant l’A6 ?
- De quoi tu te plains encore ? La capitale du monde te manquait, avoue…
- Vrai… très vrai…
Les valises ont fini par se défaire, le linge se ranger, le sal, au sale, est repassé et rangé. Jusqu’à la prochaine…
J’ai retrouvé la capitale et les affres des dilemmes.
D’ailleurs, à propos de dilemme, une idée pour celui-ci ?
(Marcie-Chloé VS Roary-YSL)