« La durée toute pure est la forme que prend la succession de nos états de conscience quand notre moi se laisse vivre, qu’il s’abstient d’établir une séparation entre l’état présent et les états antérieurs »(Bergson). « On peut donc donc concevoir la succession sous la distinction comme une pénétration mutuelle, une solidarité, une organisation intime d’éléments, dont chacun, représentatif du tout, ne s’en distingue et ne s’en isole que pour une pensée capable d’abstraire. Telle est la réalité véritable. »