La môme, l’ombre du doute,
C’est un leurre qui fait mal,
Elle te mène sur une route
Qui ne va nulle part.
Juste loin de tout.
Rongeur impénitent,
Elle sème la pagaille,
Le désert et la souffrance,
Dans ton cœur qui déraille,
Cruel manque.
Elle règne sans partage
Sur les mémoires blessées
Ne laissant que des larmes
A la réalité.
Ce n’est qu’un voile,
Un leurre qui n’existe
Que pour peindre en noir,
Les désirs de la vie,
Les futurs espoirs.
Ne l’écoute pas, la môme,
Ne la laisse pas entrer.
Elle fait de toi une loque,
N’est là que pour t’effrayer,
Et t’empêcher de donner !
Tu sais bien qu’au fond,
Tu as du beau à offrir,
La môme, enterre profond,
Ces leurres qui t’ennuient
Qui te détournent du monde …
Et te font voir l’avenir
Comme une effrayante ronde !
La môme, c’est encore possible,
Rallume le feu de l’espérance,
Entends ma plume qui te l’écrit,
Et comme elle te le chante !
Reprise@Plume2008
Si seulement je te l'avais dit tout ça, Mélanie...
Pardon.
Et au revoir.