Et alors que je me baladais jupette au vent sous le regard de ces messieurs en terrasse, que je récoltais les commentaires élogieux de mes collègues (trop unanimes pour être tous sincères à mon avis), au fond de moi je jubilais : « Tu vois ces guimbettes, là! Regarde-les bien, héhéhé, parce que ce que tu ne sais pas, c’est QU’ELLES SONT PLEINES DE POILS!!! lalalalalère! » que je me répétais en enchaînant les enjambées.
Merci Dim. Ou comment ressembler à une working girl même quand on n’a pas le temps de s’épiler.
D’ailleurs les working girls, les vraies de vraies, pas les copies conformes qui font semblant d’être surbookées pour faire classe (et qu’on leur foute la paix), jsuis sûre qu’elles ont des pattes d’Italiens. Ou alors elles vont chez l’esthéticienne avec le Mac Book sur la table d’institut pour finaliser le power point pendant la tonte annuelle, le téléphone greffé à l’oreille. Pas possible autrement. « Madame, on passe au maillot. » « Oui, Monsieur Machin, je vous rappelle, parce que là je passe sous un tunnel. »