Je n'ai pas lu le dernier livre de Michel Onfray et je ne le lirai pas. Je souffre à la seule idée qu'un homme puisse toucher des droits d'auteur sous le nom de « philosophe » en barbouillant de la sorte, et qu'un éditeur comme Grasset n'ait pas plus le sens de la responsabilité intellectuelle en mettant sur le marché un tel livre.