Ben and Jerry : l'histoire de deux "mauvais" garçons qui ont bien réussi dans la vie
!
En 1978, deux amis d'enfance BenCohen & Jerry Greenfield ouvrent dans une ancienne station d'essence , un magasin de glace : une "glacière" dans la ville de Burlington, état du Vermont aux USA.
Pour info, ils ont suivi en 1977 des cours par correspondance sur le sujet avant de lancer leur business dans cette petite ville . Burlington est sur la route des stations de skis de l'Est des USA, des villages resorts romantique et calme pour s'échapper des grandes villes comme Boston ou NYC. Les villages du Vermont ont un certain charme, des vieilles maisons authentiques transformées en chambres d'hôte, et auberge de charme, etc...
En 1979 pour fêter le 1er anniversaire de l'ouverture de leur magasin, ils lancent l'opération marketing
du "Free cone day" : la journée du cornet gratuit.
Leur petite entreprise prospère vite. Ben & Jerry's doivent à plusieurs reprises se battre devant la justice contre, entre autre, le géant Häagen Dazs qui cherche à leur mettre des batons dans les roues pour s'imposer à Boston en 1984.
En 1988, le président américain Ronald Reagan leur remet le prix de "small business persons" de l'année. En gros la meilleure PMI de l'année !
Attente interminable mardi pour obtenir son cône ou pot de crème glacée gratuit, vers 16H sous une chaleur digne de l'été, les parisiens de la rue de Rivoli ont attendu patiemment de longues longues minutes par petits groupes d'amis (quite à tricher pour certains et revenir 3 fois ...pour du rab).
Un mauvais garçon ?
A droite, une stagiaire chez Unilever, embauchée sur l'opération marketing du Free Cone Day , très sympathique qui a répondu et posée avec gentillesse à tous les badauds et touristes de passage. Ici en compagnie d'un grand gourmand (3 cônes) .
Ca papotte, çà papotte sur la rue de Rivoli ...pour choisir l'un des 5 nouveaux parfums offerts.
un clic pour salivez ...miam miam
En avril 2000, la société Ben & Jerry's est rachetée par la
multinationale géante alimentaire UNILEVER.
La société lui laisse garder son asord