et moi

Je n’ai jamais pleuré, qu’à la mort d’une mère,O oui je me souviens d’une vie dont la fin,Fut une hécatombe, souffrance et solitudes,Pendant ces six longs mois qui ont brulé ma vie,Je me suis fait couler, je n’ai jamais compris,De se retrouver seul du jour au lendemain !
J’ai voulu essayé des chemins de traverse,Mais sur ces baies là qui nous sont défendues,Je promenais en pleurs et la douleur au ventre,Comme un plat pimenté et la mort voilée !Ici c’est plus que vrai de sombrer la folieNe plus savoir où t’es ni de sens à ta vie !
Et j’en suis là, de maladie profonde,A être déchainé de vivre et profiter,Et bien malgré ce crabe nous sommes bien côtés,Et j’ai vu vrai Amour en ma maison dorée !