Grazia a posé la question dernièrement, et ça m’a donné envie de vous en écrire un article. (Le débat sur le site Grazia.fr)
Quelles sont les pires tortures vestimentaires de votre enfance ?
Alors je ne sais pas vous, mais petite, j’avais des sabots sandales. Sabots rouges vernis, talons-semelles en bois, et une lanière pour te tenir le talon qui me faisait un mal de chien. Ensuite, il y a eu le bandana. J’en étais fan gamine, et je peux te dire que maintenant, en 2010, je me demande si je ne me droguais pas en cachette. Les chouchous bijoux. Quelle horreur. Ça ressemblait à de grosses cerises, c’était horribles. Il y avait aussi sur mes fringues (j’entends donc pulls, col roulés, chaussettes…) des sortes de vagues. Au lieu que ce soit un pli droit, avec une couture toute conne, c’était des vagues. Le collier ras-du-cou en plastique, tu te rappelles de sa gueule à celui là ? Il était même dérivé en bracelet. Le pantalon velours. C’était fin 90, début 2000, et il existait encore des pantalons velours. L’anorak sans manches de toutes les couleurs. Le débardeur où tu étais obligée de faire des nœuds aux bretelles tellement qu’ils savaient pas faire des bretelles à la bonne longueur. Les vestes avec col fausse fourrure. Les leggings (qui étaient considérés Has Been, et on voit où on en est aujourd’hui…) avec des fleurs, des dalmatiens. Les grosses Reebok…