Magazine Journal intime

La chanson des mères

Publié le 07 mai 2010 par Frédérique Paresseuse

Voici, pour illustrer mon propos d'hier, une chanson qui a fait le tour du net l'année dernière mais qui ne se démodera jamais : the mom's song.

J'ai fait une traduction express pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais (sous la vidéo). A imprimer et à lire en même temps que vous écouterez la chanson.

On en reparle bientôt...

"J’ai condensé en 2 minutes tout ce qu’une mère dit en 24 heures, alors accrochez vos ceintures, c’est parti."

Lève-toi, lève-toi, lève-toi

Lave ton visage, lave tes dents, peigne-toi

Voilà tes vêtements, tes chaussures, écoute-moi

Lève-toi ! Lève-toi et fais ton lit.

As-tu chaud ? As-tu froid ?

Tu mets-ça ?

Où sont tes livres et ton repas ? Et tes devoirs ?

Mets ton manteau, tes gants, ton écharpe, ton bonnet

Et n’oublie pas de nourrir le chat.

Mange ! Le petit déj est le repas le plus important de la journée.

Prends tes vitamines pour grandir et devenir fort.

N’oublie pas ton rendez-vous à 15h chez l’orthodontiste

N’oubliez pas ta leçon de piano

Tu dois revoir tes morceaux avant d’y aller

Pas de grosses bouchées, mâche lentement mais dépêche-toi, le bus est là

Sois prudent, reviens, tu t’es lavé derrière les oreilles ?

Va jouer dehors. Pas de bagarre et pas de triche

Sois poli, fais-toi des amis, n’oublie pas de partager

Débrouille-toi, attends ton tour et pas de défis idiots

Vas-y et ne m’oblige pas à venir

Range-toi ta chambre, plie tes vêtements, dégage tes affaires

Fais ton lit. Maintenant, on n’a pas la journée.

Tu es né où ? Dans une grange ? Tu veux de la paille ?

Tu pourrais au moins m’écouter.

Réponds au téléphone !!! Raccroche !!!

Ne t’assieds pas si près. Eteins-la. Pas de textos à table.

Plus d’ordinateur pour ce soir.

Je te confisque ton ipod si tu ne m’écoutes pas.

Tu vas où ? Avec qui ? A quelle heure comptes-tu rentrer ?

N’oublie pas de dire merci, s’il vous plait, excuse-moi, c’est toujours apprécié.

Tu me comprendras quand tu seras plus grand

Vivement que tu aies des enfants

Tu me remercieras pour les conseils que je te donne si volontiers

Mais pour le moment, arrête de rouler les yeux comme ça.

Ferme la bouche quand tu mâches

Au moins une bouchée, même si tu n’aimes pas.

Utilise ta fourchette, ne rote pas ou je te calme direct

Mange ce que j’ai mis dans ton assiette

Décroche un « 16 », ouvre la porte, ne fais pas le malin avec moi

Ressaisis-toi, viens ici, je compte jusqu’à 3

Trouve un boulot, fais ta vie, décroche ton master

Prends ton médicament

Je m’en fiche de savoir qui a commencé

Tu es privé de sortie jusqu’à tes 36 ans

Sois plus clair et dis la vérité pour une fois, par pitié

Et si tous tes amis sautaient d’une falaise

En ferais-tu de même ?

Je ne l’ai pas dit une fois mais des milliers de fois

Que tu es trop vieux pour te comporter ainsi

Ca doit être l’ADN de ton père.

Regarde-moi quand je te parle,

Tiens-toi droit quand tu marches

Chaque place à un objet

Et chaque objet doit être à sa place

Arrête de pleurer

Sinon je vais te donner une bonne raison de le faire

Lave ton visage, lave tes dents

Mets ton pyjama

Va au lit, fais un câlin, dis une prière pour ta maman,

N’oublie pas : je t’aime.

Et demain, on va recommencer tout ça parce que le travail d’une mère n’arrête jamais.

Tu n’as pas besoin de savoir pourquoi

C’est parce que, c’est parce que,

Je l’ai dit, je l’ai dit, je l’ai dit

Je suis ta mère, ta mère, ta mère !


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