Annie Cordy ? Elle déchire !

Avec un nom de scène aussi glamour, cette belle blonde belge ne pouvait avoir tout au long de sa vie qu’un immense succès. « Annie Cordy » ça pète, ça flashe, ça en jette, je dirai même, quitte à en choquer plus d’un, que ce nom il rock ! Avouez qu’il vaut de toutes manières mieux s’appeler Annie Cordy que Mireille Mathieu surtout que la coupe Playmobil c’est franchement démodé.

Mais parlons d’Annie, s’il vous plait, la seule, la vraie, l’unique Annie Cordy, parlons de la vie de cette grande rockeuse qui enflamma les foules avec d’excellents titres profonds sur lesquels, j’en suis sûre, vous avez tous moult fois secoué vos poils. C’est il y a bien longtemps, quand les tyrannosaures sévissaient encore, en 1928 donc, qu’elle vit le jour à Bruxelles. Très jeune, la musique est pour elle ce que l’étalon de compèt’ est pour Omar Sharif… à peine a-t-elle dépassé l’âge de raison que la petite Annie qui s’appelait encore à cette époque Léonie Cooreman – un nom qui pète beaucoup moins que l’autre tout de même ! – apprend le solfège, la danse et le chant et aurait pu gagner la staracademy 1946 si elle avait osé tenter le casting de la Staracadémy de l’époque.

Dès 22 ans madame devient meneuse de revue au Lido, elle enchaine les spectacles au Moulin rouge, dans les plus grands cabarets de Paris et de Belgique, elle devient  plus tard une excellente comédienne… C’est une artiste multitâche et ça c’est la classe !

Pendant plus de 30 ans, on la voit partout, c’est une vraie star, et actuellement, car cet article n’est pas un hommage posthume, elle continue sa carrière de comédienne car dotée depuis sa naissance d’un dynamisme sans faille, Annie on ne l’arrête jamais !

Mais venons-en , s’il vous plait, à quelques chefs d’œuvres de sa formidable carrière de chanteuse juste pour le plaisir de vos oreilles toutes ouïes à cette merveilleuse musique qui donne la pêche !

Tata Yoyo au texte émouvant racontant la folle vie déjantée de Tata Yoyo , une brésilienne trop sexy qui porte un grand chapeau et qui apparemment ne fume pas que de la nicotine vu tous les oiseaux qu’elle voit dans sa tête…

La bonne du curé, une bonne un peu chaudasse frustrée par son boulot qui révèle son désir refoulé de faire des bêtises et de mettre des mini-jupes et des décolletés
…

Pour les autres, je sais que vous êtes déjà  à sonder frénétiquement la toile pour écouter ces merveilles musicales… ou pas.

Annie Cordy mérite qu’on l’aime, en plus, hé, Annie, c’est trop une rebelle qui dit Pouêt Pouêt dans son tube Cho ka ka o ! Allez, on s’fait un petit karaoké pour le fun ?