Il faut rire avant d’être heureux,
de peur de mourir sans rire
Le poisson d’avril se pêche facilement en eaux troubles ou lagons translucides : morue, maquereau ou autre thon,
autant de sobriquets qui prêtent à réfléchir.
Le plus délicat dans le poisson d’avril est de l’accommoder au goût de celui destiné à le savourer car il peut vite devenir indigeste, voire mortellement ennuyeux. On a déjà recensé plus d’un millier de poissons d’avril qui se serait retournés tel un boomerang sur certains humoristes non patentés. Prudence donc et attention à l’arroseur arrosé
car si on peut rire de tout… reste à trouver
les bonnes personnes avec qui partager ce moment.
Puisque que nous sommes tous des enfants et que le 1er avril est la meilleure époque pour se laisser aller au n’importe quoi… équipons nous, allons-y à la pêche à la poiscaille !
Ne perdons pas de vue néanmoins
qu’en s’entrainant quotidiennement à l’humour,
nous développons des aptitudes à rester jeunes plus longtemps !
Mais non, je ne blague pas, je suis même très sérieuse,
ça fait 30 ans que j’ai 10 ans.