« Il suffit de passer le pont.
C’est tout de suite l’aventure ! »
Georges Brassens.
Avec la Pentecôte fêtée le 23 mai, on clôture la période pascale et l’enfilade des ponts. Exception faite des vacances scolaires, le moi de mai est le mois de l’année où nous travaillons, pour la plupart, le moins puisque cette année ce mois de mai ne comptera que 18 jours ouvrables.
Tout cela n’est-il pas passionnant ? J’en connais des qui fulminent derrière leur écran, entre fourneau et aspirateur le mois de mai peut se décompter tout autrement. Un peu d’arithmétique donc pour remettre les pendules à l’heure.
Je suis maman, mariée, 2 enfants. Ces 3 êtres doux que je chéris plus que tout mangent malheureusement 4 fois par jour, laissent quand même un peu beaucoup de miettes partout, changent chaussettes et culottes autant qu’un curé peut en bénir et souffrent malheureusement tous d’une mauvaise habitude congénitale, celle de se laisser servir.
Autant de jours chômés, autant de repas supplémentaires à préparer, de machines à faire tourner, et d’envies de repos au placard remisées…
Alors à quand des ponts, mais des vrais pour les mamans un peu usées, beaucoup énervées, passablement oubliées des ponts sur lesquelles elles danseraient, des passerelles vers la légèreté, même si l’on sait il est vrai qu’elles sont aimées à la folie, passionnément et plus que tout… il y a des jours, je vous l’avoue, où le trop d’amour peut rendre fou.
Vive donc la fête des mamans et les virées au restaurant.
En attendant, Bonne Pentecôte !