C’est moi ou c’est lui?

C’est décidé, j’abdique. C’est la deuxième fois que quelqu’un décide de ce que je peux ou ce que je ne peux pas. La première fois, c’était mon plus récent ex, le loup: relire ici.
Lui il prétendait, alors que je venais de lui avouer de ne pas avoir eu “l’étincelle” pour lui, que je l’avais et que ça se voyait que je l’avais, tout ça pendant au moins 2 minutes et je suis gentille. Mais attendez deux secondes. Comment est-ce que lui pourrait savoir s’il vous plaît ce qui se passe en moi?

Cette fois, et là j’ai coupé court, c’était dans un échange vigoureux d’SMS. Je lui avais fait faux plan, pour des raisons que je ne développerai pas. Dans un des ultimes SMS il me dit qu’il a beaucoup de regrets et je lui réponds que la réciproque existe. Et là, non, c’était inconcevable:

“Tu ne peux pas avoir de regrets.”

D’accord, et pourquoi? Et bien que j’aie tourné le problème dans tous les sens, ce n’est plus que ma calculatrice qui bugue à ce moment là, mais moi aussi. Si je ne peux pas avoir de regrets, je fais quoi là? Expliquez-moi si vous comprenez, vraiment.
Mais si on tourne le problème dans un autre sens, les gens semblent être programmés et vous mettent dans des petits “tiroirs” prévus pour savoir qui agit/réagit comment. Sauf que le hic il est là. Quelqu’un qui a une grande personnalité (moi en l’occurrence), on le met où? Peut-être qu’au final, le problème il n’est pas que chez moi, mais aussi chez lui. Je ne rejette pas ma responsabilité, j’assume ce que je vais, mais m’entendre ce genre de trucs, ce n’est plus mon genre.

P.S. A part ça, j’ai fait un petit résumé et liste des personnages qui reviennent souvent sur mon blog. Voir en en-tête, dans dramatis personae.
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Prochain article? Qu’en pensez-vous d’un truc lyrique, dans le genre poème? Sinon, j’aurais aussi un coup de gueule à pousser dont le titre serait: “Chais pas trop”