Ils nous offrent pourtant une chaleur rayonnante, une foule chaleureuse, des retards langoureux, des incidents coquins, des bousculades amicales, des apostrophes humoristiques, un espace d’aisance non ?…
Mais quand un voyageur, sur le quai d’une gare, déverse un liquide chaud et jaunâtre contre un poteau, fluide qui dégouline le long du bitume, déborde du quai par dessous la balustrade courant le long de la gare puis se répand sur le trottoir juste avant que je n’arrive, sur ce même trottoir ,à sa hauteur !... Là, je peste et je râle contre ce « voyageur-usager » qui fait preuve d’une trop visible aisance et d’une évidente confusion des genres…