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De l'Utilité d'avoir Octavarium dans sa playlist ...

Publié le 26 mai 2010 par Wawaa

Dream Theater c’est bien. Oui et c’est même vachement bien. J'espère bien que ce n’est pas la première fois qu’on vous parle de ce merveilleux groupe,sinon je vous préviens, je boude sec.

Permettez-moi s’il vous plait, de narcissiquement faire un peu de 36 15 my life is trépidante et passionnante. J’ai connu Dream Theater lorsque j’étais encore une très profonde inculte musicale – notez l’évolution, aujourd’hui je ne suis plus qu’une profonde inculte musicale – à l’époque où je chantais et écoutais sans arrêt de la variété française et internationale – personne n’est parfait et j’assume -. C’est un ami, lui-même musicien, qui m’a fait découvrir Dream Theater et plus précisément l’album Octavarium après l’écoute duquel j’ai émis une critique, profonde, construite, intelligente et très judicieuse : « Oh, c’est vachement beau, j’aime beaucoup ! ».

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Ouais, non, hé, les gens, faut pas non plus croire que je sois capable de faire des critiques de musicologue, parce que j’y connais rien et puis je préfère écouter la musique plutôt que trop réfléchir en l’écoutant car réfléchir me donne des crampes cérébrales et ça gâche ce que j’écoute. Bref. Donc pendant un bon moment, l’album Octavarium et surtout le huitième morceau portant le même nom que l’album, tournaient en boucle dans mes écouteurs/haut-parleurs/baffles.

D’ailleurs, le titre Octavarium est le meilleur moyen de juger de la cuisson de ses pâtes/riz/blé/quinoa/boulgour/trucs qui se cuisent à l’eau bouillante, si vous les aviez mis à cuire juste avant de démarrer la chanson sans plus surveiller : préparez vous à bouffer un très joli gâteau de féculents bien gluant, si après que les 24 minutes et des poussières du morceau sont écoulées vous vous rappelez que vous aviez mis un truc à cuire…

Outre ce potentiel culinaire, Octavarium est un vecteur de sociabilité sur internet (et probablement pas que sur internet). Un jour, alors qu’un célèbre logiciel de chat exposait à mes contacts ce que j’écoutais, un ami est venu me dire « Faut que t’ écoutes Images and Word ». J’ai bien aimé aussi mais je préférais toujours Octavarium d’abord ! Et puis il m’a fait découvrir l’album Metropolis Part II : Scenes from a memory en m’expliquant adroitement de quoi c’était inspiré, en me fournissant même toute une documentation analytique sur le sujet, que j’ai évidemment dévorée. Même que j’avais imprimé les paroles pour mieux comprendre l’anglais et mieux suivre l’histoire tout en écoutant. Ai-je vraiment besoin de raconter ? Hein ? (Car Google est ton ami ! Google est l'ami de tout le monde !)

Et là je suis tombée amoureuse de l’album sur lequel j’ai jeté mon dévolu et j’ai failli mouiller grave en regardant le DVD Live, même si le chanteur en direct, il a parfois tendance à pas trop contrôler la justesse de sa voix – oui pour moi c’est important. Dream theater m’a donc permis de me sociabiliser.

Mais revenons-en à Octavarium s’il vous plait. C’est le titre idéal à écouter pendant les longs trajets en voiture, dans les trains de nuit pour oublier les boulets qui vous empêchent de dormir, pendant des randonnées crevantes, car ainsi le temps passe plus vite et plus agréablement.

Et puis Octavarium permet aux incultes profondes de mon genre de découvrir des groupes anciens. Quand j’ai voulu vous écrire un billet sur Octavarium, j’ai écumé les divers articles et avis sur la toile et quand j’ai lu les critiques, et je me suis rendue compte que ce n’était pas suffisamment mon domaine de connaissance pour me permettre d’en parler de manière poussée au risque de faire un affreux copier/coller reformulé. Aucun intérêt surtout qu'il y a des tas d'articles sur le sujet à lire sur la toile.

Mais ces recherches impromptues m’ont fait découvrir qu’Octavarium était un joli morceau intermusical en hommage à des tas de groupes de rock depuis les beatles (oui parce qu’à un moment , le chanteur il chante « Luuucyyy in theee skyyyy with diaaamonnnd »). Et j’ai lu donc, que ça ressemblait, référait à Pink Floyd. Depuis le temps que j’entendais ce nom de groupe, il était temps que j’aille écouter.

Et donc moi, wawaa 27 ans en 2010, toutes mes dents et une demi-cervelle engluée, j’ai enfin écouté du Pink Floyd et même que j’ai bien aimé en particulier Shine on you crazy diamond dont l’enchainement musical ressemble étrangement à celui d’Octavarium. Dingue.

Bref, Dream theater et Octavarium c’est bien, c’est tout.
Et Pink Floyd aussi tant qu’à faire.

Bref, rien que pour vous, une petite sélection de pur bonheur.

Octavarium
Shine on you crazy diamond
La balade des gens heureux
Scenes from a memory

Non, il n’y a pas d’intrus dans cette liste.


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