
" Même avec mes vieux amis, j'ai maintenant une vie virtuelle, nous prenons des nouvelles les uns des autres à travers nos blogs respectifs, fini les cafés où l'on traînait un après-midi entier, un déjeuner mensuel au Sélect où chez Lipp
Gare si un jour je ne vois pas une illustration de leur existence sur le Net !
La retraite tire en peau de chagrin l'idée d'offrir un verre, que sera-ce dans quelques temps avec ce qu'on nous réserve de restrictions, et la santé qui fout le camp à deux vitesses, il n'y aura plus d'infirmières ni de médicaments sauf pour certains quartiers. "
copie du billet du mercredi 26 mai 2010 sur le Journal d'une dériveuse (Dorothée Blanck)