Placeof-myjob.be

Publié le 31 mai 2010 par Anaïs Valente

Vous le savez (ou l'ignorez, mais plus pour longtemps), en plus de mon job adoré auprès de boss chéri, je suis indépendante.

Keske je fais dans la galère de « l'indépendance jobale », vous demandez-vous alors ?  Je me le demande aussi...

Plusieurs choses :

- d'abord, j'écris des bouquins, qui me rapportent des cacahuètes en droits d'auteur, mais j'aime ça

- ensuite, j'écris des articles sérieux et déprimants au sujet du management et des ressources humaines (avec la crise, je vous prie de croire que ça fait pleurer dans ma chaumière quand je les rédige)

- re-ensuite, j'écris des articles sur les biens de consommation, ce qui est souvent plus joyeux que le management, sauf quand j'y annonce que le chocolat fait grossir ou que l'alcool rend saoul

- re-re-ensuite, occasionnellement, je fais de la dactylo, passque moi, je tape plus vite que mon ombre

- re-re-re-ensuite, je corrige des textes, en tous genres

- enfin, et c'est un côté que j'adore dans ce côté indépendant de ma profession, je tente d'être « écrivaine publique », en d'autres termes, je fais des corrections de CV, de lettres de candidature, enfin tout ce qu'une écrivaine publique peut faire quoi.

C'est là que http://placeof-myjob.be/ intervient dans le développement de ma big carrière de la mort qui tue la vie.  Voilà donc une plateforme qui met en relation les offreurs et demandeurs pour du service de proximité.  Et c'est du belge, une fois.  PlaceOf va donc sélectionner 1000 prestataires de services, dans toutes sortes de métiers : ménage, informatique, coaching, travaux, juridique,... Et écrivaine publique, ça vous tente, écrivaine publique ?  Etant donné que le leitmotiv de Placeof est de permettre d'exercer son métier dans une relation directe et humaine avec leurs clients, moi je trouve que c'est parfait pour une écrivaine publique en devenir comme moi.  Ecrivaine publique en herbe, qu'on dit.
Allez je me lance...enfin je me lancerai dès que la section « écrivain public » sera créée.  En attendant, si vous vous sentez l'âme d'un indépendant en devenir, c'est par là que ça se passe...