L'araignée du destin me ramenant brusquement, vers les jours illusoires d'avant. Dans ces temps où le soleil brillait d’espoir futiles, où ma vie semblait avoir des bases solides. Puis les ténèbres apparurent, pour prouver que le soleil n’était que parure. Maintenant, il n'est plus que de jours plus sombres qui portent ma détresse, il n'est plus que de nuit dans l'ombre où mes maux réapparaissent.
Je maudis maintenant le présent, qui se moque de moi impunément, et assombrit mon chemin en se perdant dans ma tristesse infinie et dans le froid de mes tourments. Pourquoi fallait-elles qu’elles meurent ainsi, les promesses d'un autre temps? Pourquoi le grand mal me poursuit ainsi, sans relâche et sans sursis? On peut trouver dans mes larmes, tous les pleurs de la Terre, je sombre et rend les armes, dans cette vie trop amère.