Crises après crises...
(Wall-Street)
Nul doute, ceux que j'ai oubliés me pardonneront !
(dans l'ordre et dans le désordre... présents, absents...)
Pour certains.. penseurs d’une économie libérale, voire ultra-libérale,
Pour d'autres... journalistes omniprésents et bavards,
Intellectuels tantôt pyromanes, tantôt pompiers,
Et d'autres encore... chefs d'Etat,
Tous chantres et cancres - parfois sur-diplômés -, d'une mondialisation économique et financière sans visage et sans responsabilité !
Ce qui n'empêche pas, aujourd'hui encore, journaux, télés, radios, magazines... de continuer de nous les servir à toutes les sauces !
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Et si... finalement, les lecteurs, les auditeurs et téléspectateurs n’étaient que des pommes ? Oui, de pommes et des poires au grand cœur d’artichaut mais… gros, gros comme ça, plus gros encore, quand il est épluché ; un cœur d’artichaut à la cervelle tendre, habité d'une volonté de ne jamais rien voir et de ne rien entendre dans l'espoir d'échapper à une réalité cruelle et étouffante et dans toute son horreur.
Car, à quoi bon le nier : nous sommes tous faits aussi et surtout d'optimisme... incurablement. Et l'étoffe de cet optimisme, c'est notre sommeil et le rêve qui l'accompagne : nous tous ici, éveillés mais... pas trop ; juste assez pour nous rendormir crédules et sereins.
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Réveil brutal mais salutaire…
Demandez Frédéric Lordon pour un constat froid et lucide du fonctionnement des marchés financiers ! Destruction de valeur, vampirisation des entreprises par les établissements financiers, le chercheur au CNRS en déduit une solution radicale mais aux conséquences positive : Il faut (re)-Nationaliser les banques
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