Pitié pour les jeunes anesthésiées !

Publié le 15 juin 2010 par Frédérique Paresseuse

Les suites opératoires se suivent et se ressemblent. Grosse fatigue. Doux brouillard dans lequel on erre lentement en espérant revoir un jour reparaître la lumière et plus largement la concentration et l'envie d'écrire plus de 2 lignes d'affilée.

Alors on prend son mal en patience. On essaie d'exploser son record d'heures de sommeil (19 sur 24 qui dit mieux ?) et entre deux vertiges, on bouquine un peu et on se mate des séries. Hormis ça, rien, encéphalogramme quasiment plat.

Tout est fait autour de vous pour vous épargner la moindre fatigue, le moindre stress, le moindre choc. Le bonheur.

Bref, on remonte doucement la pente jusqu'au jour fatal où on commet l'erreur d'ouvrir le ELLE de la semaine et où on tombe sur ça.

 
 
Beurp !

Retour direct au lit avec en prime, de belles nausées !