Bonjour aux tifosi
Bonjour à Luca Toni
Bonjour aux zotres
Hier soir, j'ai commencé à regarder le match Italie-Paraguay et je me suis très vite endormie. Certes, c'est surtout un mois de boulot un peu intense qui est la cause majeure de mon refuge dans les bras de Morphée mais pas seulement : quand je déprime, je me réfugie dans le sommeil.
Le match n'était pas particulièrement passionnant, l'Italie manquait de rythme (on aurait presque dit l'équipe de France) et surtout, j'ai eu beau me brûler les yeux devant l'écran pendant les 10 premières minutes et m'esquinter les oreilles au son horripilant des vuvuzela pour entendre son nom, j'ai dû me rendre à l'évidence, "il" n'était pas là !
L'équipe d'Italie sans Luca Toni c'est comme un coca sans bulles, comme un Saint Estèphe sortant du freezer et coupé à l'eau, comme du pain sans sel, comme une édition des 24 heures du Mans sans voiture Peugeot à l'arrivée même si c'est une fois de plus la voiture n°9 qui gagne : désespérant (et je pèse mes maux).