Le silence me rapporte les échosD'impardonnables rêves devenus réalitésLes attaques sournoises du fardeauQu’est le besoin d’aimer
Le vent qui finit toujours par se lever Souille les désirs et enviesLorsque mon être caresse l'infamie d’un subtil touchéEt que s’envole cet espoir d’atteindre la douce folie