Rappelons que nous sommes en 1932, qu'un an plus tard Hitler sera au pouvoir et que Klaus Mann s'exilera alors aux Pays-Bas. Difficile d'être insensible aux accents prophétiques de cette peinture d'une jeunesse perdue, aux oreilles déjà assourdies par les bruits de bottes.
17.06 | 12h02 http://www.lemonde.fr/livres/article/2010/06/17/point-de-rencontre-a-l-infini-de-klaus-mann_1374182_3260.html