Images imparfaites, maquillage grossier certes, mais les effets spéciaux sont néanmoins remarquables pour l’époque, et l’on se rend compte que 28 jours plus tard a grassement pompé le pitch de fin du film.
Révolution : dans le rôle du protagoniste, Duane Jones, Afro-Américain, et en 1968, en pleine lutte pour leurs droits, cela a le mérite d’être noté.
Bref, « La nuit des morts vivants » n’a rien à envier à toute la pléthore de films d’horreur que l’on connait, et prend même à mes yeux, le statut de mentor du genre. Rien que ça.