Comme tous les lundi soirs, Ozap vous résume le nouvel épisode de l’Amour est dans le pré. Cette semaine, revivez les premiers moments de Guy, Pascal, Agnès, Philippe et Nicolas dans leurs exploitations, avec les prétendant(e)s. Qui sera faire le premier pas ? Qui restera en retrait ? La réponse dans ce troisième épisode.
« J’espère que ça sera ma première grande histoire »
Depuis l’arrivée de la jeune femme, l’ambiance est glaciale entre Pascal et Lucie. Le fermier ne dit pas un mot à sa jeune prétendante. Pourtant, elle tente plusieurs fois de lancer la conversation : « les essuie-glaces ils sont automatiques ? »… Il faut bien commencer quelque part, non ? Pour leur deuxième journée, rendez-vous au supermarché pour des courses qui s’annoncent bien fun. Fayots, haricots rouges (« ça fait péter », nous apprend Lucie), coq au vin et blanquette de veau pour le petit déjeuner, voilà le menu de l’agriculteur qui ne mange que des conserves.
So romantique, Pascal l’emmène après cela boire un verre au PMU où ses amis l’attendent. « C’est elle la rousse aux gros seins ? », demande un de ses copains. Apparemment pas. Retour ensuite chez l’agriculteur qui, pour le dîner, à prévu un plat surgelé pour sa convive. Alors qu’il est imbuvable avec elle, Lucie est sous son charme : « j’espère que ça sera ma première grande histoire », avoue-t-elle. Le deuxième jour, Pascal fait plus d’efforts avec la jeune femme et lui fait visiter la Marne. Lucie est aux anges d’avoir vu une moissonneuse batteuse.
« Je ne vais pas te laisser ma place ! »
Chez Agnès, tout tourne autour de la petite fille de l’agricultrice et de son cheval. Olivier, le discret, se rapproche de la fille, mais pas de la mère. Didier, lui, ne perd pas une occasion de se taire, mais Agnès semble réceptive à son charme. Première étape séduction, le cours de danse country ! C’est « Big génial » pour Didier, qui se révèle pourtant un piètre danseur. Alors qu’Olivier, qui est venu avec ses bottes de cow-boy, assure comme une bête. « Je ne vais pas te laisser ma place », déclare Didier à Olivier, qui n’a pourtant rien demandé. Une fois le show terminé, c’est l’heure des cadeaux. Olivier lui offre un stage de conduite de voitures rapides, alors que Didier lui ramène des pralines et une statue représentant un couple. Au fil du séjour, Didier se met constamment en avant, mais semble toujours plus intéressé par le travail qui s’offre à lui que par l’agricultrice. Et quand il raconte que, financièrement, il n’est pas au top, le malaise s’installe chez Agnès, qui n’est pas dupe.
Guy est toujours sur un petit nuage avec Claire et Estelle, qui lui plaisent autant l’une que l’autre. Et là, c’est le drame. L’une a ramené un cadeau, alors que l’autre non. Claire, qui est déjà folle de l’agriculteur, tente des techniques de rapprochement avec le fermier qui ne sait plus quoi penser. Il faut dire qu’il est un des rares agriculteurs à avoir deux jolies prétendantes. L’ambiance est tendue entre les deux filles, surtout que Claire se met en retrait, ce qui gène Guy, qui veut la voit plus motivée. Pendant ce temps-là, Estelle s’impose et se rapproche du fermier.
« C’est loin la gare ? »
Philippe, qui est avec Monica et Margarida, commence déjà à faire des gaffes. Il ouvre la portière de la voiture à Margarida mais pas à Monica, qui le lui fait remarquer. Ambiance ! Mais Margarida n’est pas super emballée par le fermier, qui n’est pas très avenant, alors que Monica dit Amen à tout. On sent déjà une tension naissante entre les deux filles. Margarida ne sait pas ce qu’elle fait là : « T’es sûr que tu t’es pas trompé ? ». Et quand Philippe remet en cause la « qualité du courrier » qu’elle a envoyée, Margarida répond du tac-au-tac : « Tu t’attendais à quoi ? De la littérature ? », avant de lui demander si… « c’est loin la gare »…. Ça sent mauvais pour Margarida, qui risque de ne pas faire long feu.
Le lendemain matin, la tension retombe entre Philippe et Margarida, qui profite de la douche interminable de Monica, pour charmer le fermier. Mais un instant plus tard, quand ils sont tous à la ferme, Margarida ne supporte pas que Philippe ne lui donne rien à faire et décide de rentrer préparer le repas. Monica n’est en revanche pas dans le même esprit, car le travail n’est pas sa tasse de thé. Quand Philippe rentre déjeuner, les filles ont préparé à manger. Enfin, surtout Margarida. Monica l’avoue à Philippe, « moi j’ai rien fait », et elle est en plus très contente d’elle même. Mais Philippe n’est pas sensible au travail fourni par la première, si l’omelette est si bonne, « c’est grâce au soutien psychologique de Monica ». Bah voyons !
Enfin, retour chez Nicolas, dans l’Aveyron. Entre Christine et Mélanie, le combat peut commencer. Lors du premier diner, les filles font déjà forte impression. « J’espère qu’elles ne sont pas trop blondes », déclare l’agriculteur, quand les deux femmes n’arrivent pas à faire marcher le four micro-ondes. Le lendemain matin, l’agriculteur emmène les filles dans son exploitation. Après un marathon pour rassembler les vaches, les filles se mettent au travail, même si Mélanie n’est pas très efficace - c’est la première fois qu’elle se trouve dans une ferme. « Me chie pas dessus toi, l’autre elle me chie dessus », Mélanie apprend les risques du métier. Christine tire mieux son épingle du jeu et gagne même un petit tour sur le tracteur de Nicolas, après avoir excellemment raclé le purin.
Source OZAP