…Pour ma part je reste fidèle au bleu, et quand je dis bleu je pense évidemment bleu ciel et pas bleu comme une orange, vraiment le bleu qui te lave le regard comme il lave un maillot de foot avant de rendre son lissu bleuté, bref le beau bleu de l’âme sportive et roborative, le bleu de l’encre de bas-bleu ou d’enfant étrennant son premier cahier d’écriture à la ronde, même si ça se fait plus, enfin quoi ce qu’on peut dire le grand bleu genre Zidane à l’époque de Platini…
Image : Philip Seelen