« La lumière jaillira ! » chantait Brel.
Les quatre gars de Brooklyn l’auraient-ils entendu ?
En voilà de la lumière…
Dernières braises d’un buisson plus vraiment ardent ?
Réveil d’un volcan depuis trop longtemps endormi ?
Simple retour de flamme qui ne saurait durer ?
Peu importe. Grizzly Bear est brillant, leur musique est intelligente, riche, et teintée de cette saine folie qui fait les grands artistes.
Je ne peux m’empêcher de penser à une phrase d’Audiard :
« Heureux soient les fêlés car ils laisseront passer la lumière. »
On en a parlé dans plusieurs posts, mais on n’en a fait aucun sur eux.
Ils méritent pourtant leur place ici bien plus que tous les autres…